Louis Aucoc
Louis Aucoc, (París,1850-París,1932), Peigne floral « ART NOUVEAU », autour de 1900.
En or, émail en ‘plique-à-jour’ et ‘basse-taille’, nacre, diamants talle rose, 0,10 cts.
En forme de cyclamen. Poinçons de maître et de contrôle.
Louis Aucoc fut un bijoutier célèbre à la ‘Belle Époque’. Son entreprise avait comme client Napoléon III y son épouse l’impératrice Eugénie.
Aucoc fit travailler et forma Lalique de 1874 a 1876.
13,8 cm
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Bijou Masriera, Barcelona.
Lluís Masriera Rosés, (Barcelona 1872 – 1958), Pendentif « DE LAS HOLANDESAS », vers 1908.
En or, émail en ‘plique-à-jour’, diamants talle rose couronnée 0,03 cts, rubis talle ‘carrée’, 0,06 cts et perle semisphérique, 4,84 mm de diamètre.
Signé : ‘Masriera Hermanos’.
Biblio : “Els Masriera’, 1996, p. 120, nº 152, 153 y 154.
16,4 gr.
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Bijouterie Carreras, bracelet floral en or, émail en ’plique-à-jour’ et ‘basse taille’, verre poli.
Quatre éléments avec chacun un papillon sur fonds de fleurs.
Signé ‘F. de A. Carreras-Barcelona’.
132 gr
CHRISTOPHE TERZIAN
Important bracelet rigide ouvrant en argent noirci ciselé et partiellement vermeillé, figurant un crocodile, le corps pavé de grenats verts, la gueule enserrant une pierre fine ronde facettée. Poids brut: 159.20 g. Long: 17 cm.
Date de vente : 14/12/12
Delorme & Collin du Bocage
EMail : info@parisencheres.com
Tél. : 01 58 18 39 05
Pendentif de Fouquet, Paris.
Pendentif feuillagé ajouré en or jaune partiellement serti d’opales et diamants taillés en rose au centre, encadré d’émaux ajourés sur paillons. Il supporte une perle baroque en pampille. Signé G. FOUQUET (n° 5210), réalisé vers 1902. H.: 8,2 cm; Poids brut: 13 g. (Trace de poinçon du fabricant). Ce pendentif est la partie centrale du collier «Libellules» créé en 1902. Il est reproduit dans l’ouvrage: «Les Fouquets», catalogue de l’exposition du Musée des Arts Décoratifs, 1983, page 155, numéro 55.
Date de vente : 21/12/12
Audap-Mirabaud
EMail : contact@audap-mirabaud.com
Tél. : 01.53.30.90.30 / Fax : 01.53.30.90.31
Estimation : 10 000 – 12 000 €
Photo Menozzi, Perpignan.
Cette femme porte une médaille ainsi que la coiffe catalane.
Photo Paul Billès, Perpignan
Famille Mitjavile de Cerbère.
De gauche à droite, debout : Georges Mitjavile, Dominique Mitjavile (1854-1939), fondateur des Transports Mitjavile, entreprise spécialisée dans le transport des vins, primeurs et denrées périssables, , Henri Mitjavile, son fils né le 4 mars 1880 à Banyuls et décédé le 13 février 1961, Paul Pujade, Camille Mitjavile.
De gauche à droite assises: Madame Galy de Montagles née Vinel de Cassou, Marie Antoinette Mitjavile, née Almaide Galy de Montaglas, Madame Henri Mitjavile née Marie-Jeanne Pujade (mariés le 27 décembre 1906), Madame Pujade née Noémie Carrere, Marie Mitjavile avec son fils René sur les genoux.
Le transport du vin passa à l’ère industrielle en Roussillon avec la famille Mitjavile, qui créa en 1878 à Cerbère, hameau de Banyuls sur Mer, la compagnie ds wagons foudre à leur nom. Le hameau de Cerbère qui appartenait toujours à Banyuls, devient indépendant en 1888, et Dominique Mitjavile, premier adjoint du maire de Banyuls, sera le premier maire de la nouvelle commune de Cerbère le 15 juillet 1888.
Dominique Mitjavile, 1er maire de Cerbère, Photo Provost, vers 1880.
Adélaïde Salles-Wagner (1825-1890), couple d’amoureux.
Henri Lyon
La maison Henri Lyon,, 12 rue de la Paix à Paris possédait des succursales à Nice, Genève et Vichy.
Pendentif Arlésienne, métal, XXe s.
Pendentif Bretonne, métal, XXe s.
Pendentif Bretonne, métal, XXe s.
Le Cri Catalan, 27 mai 1918.
Le Cri Catalan, 8 février 1918.
calice Masriera
LIEU DE VENTEHôtel des Ventes LYON PRESQU’ILE
6 rue Marcel Gabriel Rivière
69002 Lyon
Antoni Esplugas i Gual, détail du visage.
Antoni Esplugas i Gual, détail des bijoux et de l’éventail.
Source: www.balclis.com
L’or des Républicains espagnols continue toujours d’alimenter les conversations. Peut-être ici un élément de réponse….
Source : le Roussillon, 10/05/1941.
Art nouveau espagnol : Quand l’art religieux se met au goût du jour… La célèbre maison de joaillerie espagnole Masriera y Carreras est l’auteur de ce calice et de sa patène en or massif pesant pas moins de 1133,60 g, soit plus d’un kilo d’or. Cet objet liturgique utilise une technique ancestrale et éminemment complexe, celle du cloisonné dit «plique à jours». Ce dérivé des émaux cloisonnés consiste à fermer les alvéoles métalliques avec une mince feuille de cuivre ou d’argent collée, qui sera ensuite dissoute avec des acides. Le fond disparaît alors au profit de beaux effets de transparence. À ces émaux translucides viennent s’en ajouter d’autres, décoratifs, représentant des scènes de la vie du Christ. On remarquera encore dans cette pièce d’orfèvrerie l’insertion de pierres précieuses de belle qualité dont seize émeraudes pour 2,35 ct et seize rubis pour 1,60 ct. Cette œuvre d’exception affiche de nombreux atouts. Outre sa qualité technique, on notera sa rareté , puisque très peu d’objets religieux en or existent encore de nos jours. Signés Masriera y Carreras, ce calice et sa patène ont été réalisés par cette maison de joaillerie et orfèvrerie créée à Barcelone, en 1839, par Josep Masriera i Vidal. Les fils de ce dernier seront distingués par une médaille d’or à l’Exposition internationale de 1888 dans la section art industriel, joaillerie et orfèvrerie précieuse. La troisième génération Masriera ne sera pas en reste avec Luis et le triomphe de l’art nouveau. Enfin, en 1915, les deux plus grandes familles de bijoutiers catalans, les Masriera et les Carreras, s’unissent… Une association gagnante ! La nouvelle entreprise évoluera avec son temps et se fera encore remarquer à l’époque art déco lors de l’Exposition de 1925 à Paris et de l’Exposition universelle de Barcelone en 1929.
Important pendentif « Soleil »en argent et cabochon d’onyx. 1959.
Antoni Esplugas i Gual, natif de Vilanova i La Geltrú, actif à Barcelona au milieu du XIXe siècle comme peintre de portraits et professeur à l’Ecole des beaux-Arts. 
